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Réduire son temps de travail à 80 % : bonne ou fausse bonne idée ?

Salarié souriant travaillant à 80 pour cent

Et si un jour de repos en plus changeait vraiment les choses ? Travailler à 80 % séduit de plus en plus de salariés en quête de temps, d’air, d’équilibre. Mais avant de sauter le pas, mieux vaut connaître les règles, les avantages, les limites… et les secteurs où c’est possible. Ce guide te donne une vue claire et concrète pour décider, en toute conscience.

Bon à savoir : certaines entreprises proposent déjà des contrats à temps partiel ou des aménagements de poste. N’hésite pas à consulter les offres d’emploi actuellement ouvertes sur notre plateforme.

Travailler à 80 %… en bref

  • Un jour libre en plus : pour votre famille, vos projets ou votre bien-être.
  • Impact sur le salaire : réduction proportionnelle à votre taux d’activité.
  • Secteurs ouverts : santé, enseignement, numérique, public, associations.
  • Des droits ajustés : congés, retraite et prévoyance calculés au prorata.
  • À discuter avec l’employeur : accord écrit, anticipation et organisation clé.

Le travail à 80 % peut transformer votre quotidien, à condition d’être bien préparé.

Comprendre le travail à 80 %

Le travail à 80 %, c’est tout simplement un emploi à temps partiel où le salarié travaille quatre jours sur cinq. Cela représente environ 32 heures par semaine au lieu des 40 habituelles. Ce type de contrat est souvent choisi pour avoir plus de flexibilité et un meilleur équilibre entre vie pro et perso.

Un cadre légal bien défini

Le Code du travail encadre le temps partiel. Il faut un accord entre l’employeur et le salarié. Le contrat doit mentionner la durée hebdomadaire ou mensuelle, la répartition des horaires et les conditions de modification. Le travail à 80 % est souvent mis en place via un avenant au contrat initial.

Dans la fonction publique, il existe un dispositif spécifique pour travailler à 80 %, notamment après un congé parental ou pour raisons de santé. Le salarié garde son poste, mais réduit son temps de présence.

Pourquoi choisir le 80 % ?

Beaucoup choisissent ce rythme pour des raisons personnelles : enfants, études, projet personnel, ou simplement pour souffler. Cela permet de réduire le stress, d’améliorer le bien-être et de préserver sa santé.

Voici quelques exemples concrets :

  • Une infirmière qui passe à 80 % pour mieux gérer ses gardes et sa vie de famille
  • Un cadre en télétravail qui consacre son vendredi à une formation
  • Un salarié qui reprend des études tout en gardant un emploi stable

Quel impact sur le salaire ?

Travailler à 80 %, c’est une baisse de salaire proportionnelle. Si vous gagnez CHF 6’000 à temps plein, vous toucherez environ CHF 4’800 à 80 %. Il n’y a pas de surprise : moins d’heures, moins de paie. Mais certains y trouvent leur compte grâce à une meilleure qualité de vie.

Attention : certaines primes peuvent aussi être impactées. Il faut vérifier les accords d’entreprise ou la convention collective.

Pour mieux anticiper, tu peux aussi calculer tes prétentions salariales à 80 % selon ton profil et ton secteur.

Et la carrière dans tout ça ?

Passer à 80 % peut ralentir une carrière, surtout dans les entreprises où la disponibilité est valorisée. Mais ce n’est pas une règle. Beaucoup de managers comprennent aujourd’hui l’intérêt d’un bon équilibre travail-vie personnelle.

La performance ne dépend pas toujours du nombre d’heures. Un salarié motivé, reposé et concentré peut être plus productif en 4 jours qu’un autre en 5.

Et si tu changes de poste ? Pense à bien préparer ton entretien d’embauche pour justifier ton choix de rythme tout en valorisant ta motivation.

Des formes variées selon les secteurs

Le travail à 80 % se développe dans plusieurs secteurs d’activité :

  • Fonction publique : très courant, notamment pour les enseignants ou les soignants
  • Banques et assurances : souvent proposé après un congé maternité
  • Startups et PME : plus flexibles, elles l’utilisent pour attirer des talents

Dans certains cas, le 80 % est même un argument de recrutement. Il montre que l’entreprise s’adapte aux besoins de ses salariés.

Présentiel ou télétravail ?

Le travail à 80 % peut se faire en présentiel ou en télétravail. Tout dépend du poste. Certains choisissent de regrouper leurs heures sur quatre jours, d’autres préfèrent des demi-journées. Il faut en discuter avec l’employeur pour trouver la meilleure organisation.

Le maître mot : adaptabilité. Chaque situation est différente. L’important, c’est que le rythme choisi respecte les besoins de l’entreprise et ceux du salarié.

Les avantages du travail à 80 %

Meilleur équilibre vie professionnelle – vie privée

équilibre vie pro vs vie perso

Travailler à 80 %, c’est souvent travailler quatre jours au lieu de cinq. Ce jour en moins change tout. Il permet de souffler, de ralentir, de reprendre le contrôle sur son emploi du temps.

Ce rythme réduit aide à mieux gérer la fatigue et le stress. On dort mieux, on a plus de temps pour soi. Cela améliore le bien-être général et la santé mentale.

Ce modèle favorise un vrai équilibre entre la vie pro et la vie perso. On a plus de temps pour faire du sport, lire, cuisiner, ou juste… ne rien faire. On recharge les batteries.

Les salariés en temps partiel déclarent souvent être plus productifs sur leurs jours travaillés. Moins de temps, mais mieux utilisé. La motivation augmente, la performance aussi.

Exemple concret : une cadre en marketing passe à 80 %. Elle libère son mercredi. Elle utilise ce jour pour se former en ligne. Elle monte en compétences sans sacrifier son emploi.

Gain de temps pour les responsabilités familiales

Un jour de libre en plus, c’est aussi un jour pour s’occuper de ses enfants, de ses parents, ou de sa maison. Le travail à 80 % est souvent choisi par les parents de jeunes enfants.

Ce dispositif permet de mieux gérer les sorties d’école, les rendez-vous médicaux, les devoirs. Moins de courses contre la montre, plus de disponibilité pour la famille.

Il est aussi utile pour les aidants familiaux. Ceux qui s’occupent d’un proche malade ou âgé peuvent souffler un peu, organiser les soins, sans poser de congé.

Voici quelques exemples concrets d’usages du jour libéré :

  • Accompagner les enfants à leurs activités extra-scolaires
  • Faire les courses en semaine, éviter la foule du samedi
  • Prendre des rendez-vous médicaux
  • Faire avancer un projet personnel ou associatif

Ce rythme de travail offre une vraie flexibilité. Il permet de mieux jongler entre les tâches du quotidien et les impératifs professionnels.

Dans certains secteurs d’activité, comme la fonction publique ou l’enseignement, ce type d’aménagement est déjà bien intégré. Il devient aussi plus courant dans les grandes entreprises avec des politiques RH souples.

Les inconvénients du travail à 80 %

Passer à un temps partiel comme le travail à 80 % séduit beaucoup de salariés. Mais cette réduction du temps de travail ne convient pas à tout le monde. Il y a des effets secondaires qu’il faut connaître avant de se lancer.

Une baisse de salaire directe

Le plus évident : le salaire diminue. Travailler à 80 %, c’est souvent perdre 20 % de son revenu brut. Même si certaines conventions collectives prévoient des aménagements, la règle générale reste simple : moins d’heures = moins de paie.

Cela peut impacter :

  • la capacité d’épargne
  • les projets immobiliers (crédit, emprunt)
  • la cotisation retraite

Des conséquences sur la carrière

Dans certains secteurs d’activité, travailler à 80 % peut être vu comme un manque d’engagement. Cela peut freiner une évolution de carrière, surtout dans les entreprises où la disponibilité est valorisée.

Certains managers peuvent penser qu’un salarié à temps partiel est moins investi ou moins productif. Cela peut influencer :

  • les promotions
  • les projets confiés
  • les formations proposées

Pour éviter les interprétations négatives, apprends à parler de tes défauts en entretien sans te pénaliser : un bon storytelling fait toute la différence.

Une charge de travail parfois inchangée

Un des pièges fréquents : faire le même travail en moins de temps. Dans les faits, certains salariés à 80 % se retrouvent avec des objectifs identiques à ceux d’un temps plein. Résultat : plus de stress, moins de bien-être.

Ce phénomène est courant dans les métiers à forte responsabilité ou dans les petites équipes. L’adaptabilité devient alors essentielle pour ne pas s’épuiser.

Moins de droits sociaux

Le Code du travail prévoit des droits proportionnels au temps de travail. À 80 %, certains droits sont réduits :

  • moins de jours de congé (en fonction du nombre de jours travaillés)
  • indemnités journalières plus faibles en cas d’arrêt maladie
  • cotisations retraite moindres

Il faut aussi penser à l’assurance maladie de base (LAMal) et à la prévoyance professionnelle (2e pilier), qui peuvent être calculées sur le salaire brut réduit

Une organisation plus complexe

Organisation du planning hebdomadaire pour un poste à 80 pour cent

Travailler à 80 %, c’est souvent s’absenter un jour fixe dans la semaine. Cela peut compliquer la gestion d’équipe ou la participation à certaines réunions importantes. En présentiel comme en télétravail, l’absence peut créer des frictions.

Les collègues doivent parfois compenser. Cela peut générer des tensions ou des incompréhensions. Une bonne communication est indispensable pour éviter les malentendus.

Des limites selon les secteurs

Le dispositif du 80 % n’est pas adapté à tous les métiers. Dans certains secteurs d’activité (santé, commerce, industrie), l’organisation du travail rend ce format difficile. La présence physique est souvent indispensable.

Exemple : un infirmier ou une caissière ne peut pas toujours choisir son jour off. L’entreprise doit maintenir un certain niveau de performance et de service.

Travailler à 80 % : les secteurs où c’est possible (et courant)

Le travail à 80 % attire de plus en plus de salariés. Moins d’heures, plus de flexibilité, un meilleur équilibre entre vie pro et perso. Mais tous les secteurs ne sont pas ouverts à ce type d’organisation. Voici ceux qui le permettent le plus facilement.

1. La fonction publique

Dans la fonction publique suisse, le travail à temps partiel est largement répandu et encouragé lorsque la bonne marche du service le permet. Il est encadré par le Code des obligations, la Loi sur le travail et des règlements internes propres à chaque administration.

Le personnel peut demander, par exemple, un taux d’occupation de 80 %

  • Gérer un congé parental
  • Préserver leur bien-être
  • Suivre une formation

Ce mode de travail est courant dans les écoles, les hôpitaux et les administrations, car il favorise l’équilibre entre vie professionnelle et privée tout en réduisant la charge mentale

2. Le secteur médical et paramédical

Infirmiers, aides-soignants, kinés… Le 80 % est fréquent dans le secteur de la santé. Les horaires sont souvent lourds. Réduire le temps de travail aide à limiter le stress et préserver la motivation.

Certains établissements proposent des plannings adaptés :

  • Journées condensées
  • Repos fixes chaque semaine
  • Possibilité de télétravail pour les postes administratifs

Ce mode de travail améliore la performance globale des équipes. Moins de fatigue, plus de disponibilité.

3. L’enseignement

Dans l’enseignement, le 80 % est courant, surtout chez les femmes. Il permet de mieux gérer la vie de famille. Les enseignants peuvent demander une réduction de service tout en gardant leur poste.

Ce système est souvent utilisé pour :

  • Accompagner un jeune enfant
  • Préparer un concours
  • Travailler sur un projet personnel

Le salaire est réduit, mais le poste est conservé. Cela permet de garder un pied dans sa carrière tout en soufflant un peu.

4. Les métiers du numérique

Le secteur du numérique est très souple. Beaucoup d’entreprises misent sur la flexibilité et l’adaptabilité. Le 80 % y est souvent possible, surtout en télétravail.

Les profils concernés :

  • Développeurs
  • UX/UI designers
  • Consultants IT

Les entreprises préfèrent parfois un bon profil à 80 % qu’un mauvais à 100 %. La productivité est plus importante que le nombre d’heures passées au bureau.

5. Les associations et ONG

Dans le monde associatif, les contrats à temps partiel sont fréquents. Le 80 % est une norme dans certains postes. Cela permet de gérer les ressources tout en gardant des équipes motivées.

Ce modèle est courant pour :

  • Les chargés de mission
  • Les coordinateurs de projet
  • Les responsables communication

Le recrutement se fait souvent sur des profils polyvalents. Le temps partiel est vu comme un moyen de mieux répartir les budgets.

6. Les métiers créatifs et freelances

Les graphistes, photographes, rédacteurs ou traducteurs travaillent souvent à 80 % ou moins. Ils gèrent eux-mêmes leur emploi du temps. Le temps partiel leur permet de jongler entre plusieurs missions ou projets personnels.

Le travail à temps partiel est ici un choix stratégique. Il permet de préserver la santé mentale, de maintenir la créativité et d’éviter la surcharge.

7. Les grandes entreprises avec politique RH avancée

De nombreuses grandes entreprises adoptent des politiques RH favorisant le travail à temps partiel, notamment à 80 %. Ce modèle est souvent proposé pour :

  • Attirer et fidéliser des talents recherchant un meilleur équilibre entre vie professionnelle et privée
  • Répondre aux attentes de flexibilité des collaborateurs

On retrouve ce type de politique dans :

  • Les groupes bancaires
  • Les compagnies d’assurances
  • Les entreprises technologiques
  • Les grands distributeurs comme Migros ou Coop

Certaines entreprises vont plus loin en proposant parfois un modèle « 80 % payé 90 % » afin d’encourager la réduction du temps de travail sans trop impacter le salaire. Ce modèle convient aussi très bien aux profils expérimentés. Si tu es en reconversion ou proche de la retraite, découvre les opportunités pour les profils expérimentés à temps partiel.

Comment aborder la discussion avec son employeur

Employé en discussion avec son manager pour une demande de 80 pour cent

Passer à un temps partiel comme le travail à 80 % peut améliorer ton équilibre entre vie pro et perso. Mais pour que ça fonctionne, il faut bien préparer la discussion avec ton employeur.

Prépare ton argumentaire

Avant d’en parler, prends le temps de réfléchir à tes raisons. Tu dois pouvoir expliquer clairement pourquoi tu veux réduire ton temps de travail. Par exemple :

  • Besoin de plus de temps pour ta famille ou ta santé
  • Volonté de suivre une formation
  • Réduction du stress ou meilleure productivité

Sois honnête, mais reste professionnel. L’objectif est de montrer que tu restes motivé et impliqué dans ton emploi.

Anticipe les impacts pour l’entreprise

Ton manager va penser organisation. Prévois donc des réponses à ces questions :

  • Comment ton absence une journée par semaine sera gérée ?
  • Qui pourra te remplacer si besoin ?
  • Comment maintenir la performance de l’équipe ?

Propose des solutions. Par exemple, tu peux suggérer de concentrer tes tâches clés sur les jours travaillés, ou de passer en télétravail partiel si possible.

Choisis le bon moment

Évite de lancer le sujet en pleine période de rush ou juste avant un gros projet. Attends un moment calme, ou demande un rendez-vous formel. Ça montre que tu prends la demande au sérieux.

Connais tes droits

Le droit du travail suisse, principalement le Code des obligations, permet de travailler à temps partiel selon diverses modalités :

  • Temps partiel sur demande, à convenir avec l’employeur (il n’existe pas de droit automatique à la réduction du taux d’activité)
  • Temps partiel après un congé maternité ou paternité, sous réserve d’accord avec l’employeur et en tenant compte des conséquences sur la prévoyance et les assurances sociales
  • Possibilité de cumuler emploi salarié à temps partiel et activité indépendante, à condition de respecter le devoir de loyauté et d’informer l’employeur

Renseigne-toi aussi sur les règlements internes et conventions collectives de ton entreprise ou secteur, car certains domaines appliquent des règles spécifiques.

Formalise la demande

Une fois d’accord, il faut formaliser. Envoie une demande écrite. Indique :

  • Le nouveau rythme souhaité
  • La date de début
  • La durée (définitive ou temporaire)

Ton employeur doit répondre dans un délai raisonnable. En général, c’est un mois. Si c’est un refus, il doit le justifier.

Exemple de formulation

Voici un exemple simple de phrase pour lancer la discussion :

« J’aimerais discuter d’un aménagement de mon temps de travail. Je pense qu’un passage à 80 % pourrait m’aider à mieux gérer mes priorités tout en restant efficace dans mes missions. »

Ça pose le cadre sans mettre de pression. Ensuite, tu développes.

Conseils pour une transition réussie vers le 80 %

Anticiper les impacts sur votre organisation

Passer à un temps partiel à 80 % demande de revoir son organisation. Il faut identifier les tâches essentielles et celles qu’on peut déléguer ou automatiser. Cela évite de se retrouver avec la même charge de travail qu’à temps plein.

Discutez avec votre manager pour ajuster vos missions. Soyez clair sur vos disponibilités. Si vous ne travaillez pas le mercredi, il faut que tout le monde le sache.

Bien gérer son emploi du temps

Le risque quand on passe à 80 %, c’est de faire autant qu’avant en moins de temps. Pour éviter ça, il faut structurer ses journées. Bloquez des plages pour les tâches importantes. Évitez les réunions inutiles.

Exemple : si vous êtes en télétravail deux jours par semaine, gardez-les pour les missions qui demandent de la concentration. Réservez le présentiel pour les échanges d’équipe.

Faire le point sur ses finances

Passer à un taux d’occupation de 80 % implique une baisse de salaire. Avant de prendre cette décision, il est recommandé de :

  • Établir un budget pour vérifier si la réduction de revenu reste viable.
  • Analyser les possibilités de réduire certaines dépenses ou de compenser par d’autres moyens (par exemple, adaptation des charges familiales).
  • Utiliser des outils comme les calculateurs de temps partiel pour estimer précisément l’impact sur le salaire et la prévoyance.

En Suisse, pour les parents de jeunes enfants, il n’existe pas de congé parental généralisé comme en France, mais :

  • Les mères bénéficient de 14 semaines de congé maternité indemnisé à 80 % du salaire, et les pères de 2 semaines de congé paternité.
  • Certains cantons ou employeurs proposent des solutions de temps partiel après la naissance d’un enfant, à convenir directement avec l’employeur.

Renseignez-vous auprès de votre service RH ou consultez les règlements internes de votre entreprise pour connaître les dispositifs et soutiens disponibles.

Informer et impliquer son entourage

Le changement d’horaire peut aussi impacter votre famille ou vos collègues. Il faut les prévenir et expliquer vos choix. Cela évite les malentendus et facilite l’adaptabilité de chacun.

Exemple : si vous ne travaillez pas le vendredi, vos collègues doivent savoir que vous ne serez pas joignable. Et votre famille doit comprendre que ce jour n’est pas forcément un congé, mais un moment pour vous ou pour gérer d’autres choses.

Profiter de ce temps libéré intelligemment

Le but du 80 %, c’est de retrouver de l’équilibre. Utilisez ce temps pour votre bien-être, votre santé, ou même pour vous former. Cela peut aussi booster votre motivation et votre performance au travail.

Quelques idées :

  • Faire du sport ou méditer
  • Suivre une formation en ligne
  • Passer du temps avec vos enfants
  • Lancer un projet personnel

Rester flexible et ouvert au changement

Un passage à 80 % n’est pas figé. Il faut tester, ajuster, parfois revenir en arrière. Soyez à l’écoute de vos besoins et de ceux de votre entreprise. La flexibilité est la clé.

Dans certains secteurs d’activité, comme l’enseignement ou la santé, le 80 % est plus courant. Dans d’autres, il faudra peut-être convaincre. Mettez en avant votre productivité et votre engagement.

Avant de franchir le cap du 80 %, il est essentiel de connaître vos droits, vos options… et les opportunités qui s’offrent à vous. Chez Multi Personnel, nous accompagnons les candidats dans leur évolution professionnelle, qu’ils souhaitent un temps plein ou un temps partiel adapté à leurs besoins.

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